La face cachée de la pyramide du Louvre

pyramide du Louvre« Comment vieillit alors cet ouvrage qui avance doucement vers son quart de siècle ? » Le Moniteur apporte une réponse, précise et impartiale.

En perspective des 25 ans de la pyramide du Louvre, Le Moniteur publie un retour sur le quart de siècle de ce polyèdre de verre et de métal, longtemps critiqué mais aujourd’hui extrêmement réputé.

Audace architecturale (première construction en verre feuilleté collé), audace esthétique (élément ultra moderne au sein d’un environnement des plus classiques, la cour Napoléon du Musée du Louvre), la pyramide du Louvre est un condensé d’innovation et de culot qui se solde aujourd’hui par un immense succès touristique et une note de frais salée…

Volet controversé du projet du Grand Louvre lancé en 1981 par François Mitterrand, la pyramide est l’œuvre de l’architecte sino-américain Ieoh Ming Pei, célèbre pour ses nombreuses réalisations à travers le monde, notamment la nouvelle aile de la National Gallery à Washington ou encore le Deutsches Historisches Museum à Berlin. Elle fut inaugurée le 30 mars 1989.

Le Moniteur analyse ce bâtiment transparent de 95 tonnes : détails techniques précis, état des lieux, éclairage sur le budget (faramineux) de l’entretien… On y apprend entre autre que sa structure est élastique (« l’ouvrage suit des variations de dimension dues aux changements de températures quotidiens ou saisonniers), très énergivore (« avec des déperditions importantes l’hiver, et surtout peu de contrôle sur les apports caloriques excessifs l’été » explique Philippe Carreau, chef de service des Bâtiments et jardins du musée du Louvre) et qu’elle accueille plus de 10 millions de visiteurs par an (contre 5 à 6 millions avant sa construction).

 Toutes ces informations et bien d ‘autres encore sont à retrouver sur le site du Moniteur, et l’intégralité de cet article dans le numéro d’avril des Cahiers Techniques du Bâtiment.

Pour en savoir plus :

 

 

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